Machine et Individu (1) Le cas des « soft skills »
L’essor de l’IA réduit toujours plus le « résidu » des compétences propres à l’Homme. Les « soft skills » en feront-elles toujours partie ?
Techniques d’intelligence artificielle et neurosciences
L’essor de l’IA réduit toujours plus le « résidu » des compétences propres à l’Homme. Les « soft skills » en feront-elles toujours partie ?
Selon certains chercheurs, les plus grands chatbots « comprennent » en quelque sorte les textes qu’ils manipulent. Vertiges du langage…
Une lecture de la lettre ouverte et inquiète, signée par Elon Musk, réclamant un moratoire de 6 mois du développement des IA génératives…
Les IA neuromimétiques peuvent désormais écrire, dessiner, composer de la musique… Loin d’être « conscientes » que disent-elles de l’humain ?
Hubert L. Dreyfus fut le premier à critiquer l’IA cognitiviste et computationnaliste en convoquant la phénoménologie, de Husserl à Heidegger.
L’artefact « intelligent » autonome doit-il être considéré comme responsable de ses décisions ? Faut-il créer un nouveau sujet de droit ?
Le régime technique produit cette doxa « computationnaliste » qui considère le cerveau comme un centre de traitement de l’information. Est-elle sur le point de céder ?
Dans l’effervescence d’après-guerre, de jeunes cybernéticiens anglais ont brillé par leur talent et leur créativité. Un temps oublié, leur « Ratio Club » éclaire les origines de l’IA.
Jusqu’à quel point peut-on s’attacher à un artefact numérisé ? Pas au point, pensons-nous, d’en pouvoir jamais tomber « amoureux ».
L’activité mathématique illustre à merveille le couplage du corps et des jeux de langage, c’est-à-dire leurs modifications réciproques lorsqu’ils « dialoguent ».