« Fracture numérique » : esquisse d’un concept
Une « fracture numérique » accompagne l’essor du numérique depuis les années 1990. Esquisse d’un concept problématique.
Algorithmes, techniques de programmation…
Une « fracture numérique » accompagne l’essor du numérique depuis les années 1990. Esquisse d’un concept problématique.
Hubert L. Dreyfus fut le premier à critiquer l’IA cognitiviste et computationnaliste en convoquant la phénoménologie, de Husserl à Heidegger.
L’image révélée au monde en 2019 valide une fois de plus la théorie d’Einstein et illustre à merveille le fabuleux pouvoir des mathématiques.
Alexa, Siri, Uber, Tinder, TripAdvisor, Waze… La multiplication des « machines morales », comme disait le sociologue Dominique Cardon, ne fait que commencer !
Google, IBM, Microsoft… annonceront bientôt la « suprématie quantique ». Quels sont les enjeux de ce nouveau paradigme informatique ?
Pourquoi y a-t-il si peu de femmes dans les étages supérieurs des mathématiques ? Passage en revue de cette question difficile.
Le monde numérique produit toutes sortes de « zombies », des structures et des organisations sans conscience. En voici quelques exemples.
Un parallèle audacieux nous ramène à l’époque babylonienne. Nos algorithmes ne jouent-ils pas un rôle comparable aux anciennes tablettes d’argile ?
L’horizon des machines « intelligentes » étant l’autonomie, la question de leur « morale » est posée. Suivons Stuart Russell, chercheur en IA, sur ce terrain.
Liu Hui, mathématicien chinois du IIIème siècle, terrasse l’un des premiers « monstres » mathématiques, le nombre irrationnel.